J'ai décidé de faire une nouvelle histoire, car un de mes rêves m'a donné une de ces inspirations que je ne veux pas oublier...
Chapitre 1
-Le meutre a eu lieu à 5h 54...
-Un peu tôt, n'est-ce pas ??
-Mouais...
Les deux hommes se penchèrent et regardèrent le corps inerte, sur le divan. On entendit un coup de feu. Un enquêteur tomba sur le sol, puis le deuxième par dessus. L'homme, ou la femme qui avait tiré, satisfait ou satisfaite, claqua la porte, rengea son pistolet dans sa ceinture et sorti dehors. Le soleil était au dans le ciel et aucun nuage ne troublait cette magnifique journée. L'assassin se dirigea vers le poste de police, salua d'un signe de tête son chef et arriva vers son bureau en dansant, faisant rigoler ses collègues. Il remit discrètement des balles dans son pistolet et le rangea juste à temps, juste avant qu'une secrétaire ne l'interpelle. Cet assassin, c'était une femme d'un vingtaine d'années, nommée Theodore. Pas très courant pour une femme, mais c'était ainsi. La petite femme potellée qui venait d'arriver était une des trois secrétaires du poste. Celle-ci était presque édentée.
-Fadame, feux autles foliciers ont été afatus...
Theodore prit une mine surprise, fachée et triste, masquant bien son hypocritie. Elle prit les dossiers que lui tendait la secrétaire et la chassa d'un signe de main. Theodore laissa les papiers trainer sur son bureau et prit une bouteille de Whisky, mit les pieds sur son bureau et prit une gorgée, avant d'empoigner la télécommande de sa 23 pouces plasma et de regarder un match de lutte. Un petit nouveau la regarda, surpris de voir une femme avoir un comportement aussi étrange. Il s'arrêta et la regarda, avant de reprendre sa route quand il croisa le regard de la meutrière/policière.
***
Non loin de là...
Trois autres agents furent envoyés dans la demeure de la victime, où ils retrouvèrent avec horreur leur collègues morts, inertes, sur le plancher. Ils en déduisirent assez rapidement qu'ils avaient étés abbatus par une balle, vu la blessure. Mais il se rappelèrent leur têche et commencèrent à examiner la victime, tassant légèrement leur défunts confrères. J,ai le bonheur de vous dire que les trois officiers ne furent pas tués, du moins, pas pour l'instant. Mais les trois hommes étaient morts de peur. Le premier, grand et mince avait les yeux gris foncé, les tempes trempées de sueur et les cheveux collés au crâne. Il ressemblait à un squelette. Le deuxième, plus enrobé, portait une petite moustache et avait les cheveux bruns, tout bien coiffé. Le troisième, le cousin de Theodore, lui ressemblait étrangement. Il avait les cheveux noirs et le visage déterminé, presque dur. Il avait lui aussi une moustache, mais avait une petit barbe taillée en ''W'' de plus. Les trois officiers entendirent un bruti et se figèrent, n'osant plus bouger...
Chapitre 2
Leurs cœurs battaient à tout rompre. Les collègues sortirent fébrilement leur pistolet de leur ceinture, se collère ensemble et se retournèrent en même temps. La seule chose qu’ils virent était la fenêtre ouverte où un oiseau était perché, gazouillant gaiement. Ils se sentaient tous ridicules, là, leur fusil pointé vers un simple moineau domestique. Le maigre soupira et s’appuya sur le gros, tandis que le cousin de Theodore s’approcha de la victime, ayant remarqué une mince trace de peinture rouge sur la cuisse droite de la victime. Brady, tel était son nom, appela sa cousine avec son cellulaire.
-Allô??
-Theodore??
-Ouais, qu’est ce qu’il y a Brady??
-J’ai trouvé de la peinture rouge sur sa cuisse droite…
-Envoie un échantillon au labo…
La discussion se finit là, car Theodore avait racroché et se précipitait vers le labo. Dès l’échantillon reçu, elle versa du vinaigre dans la peinture, puis du bicarbonate de soude. Le tout donna une minuscule explosion, projetant de la mousse un peu partout. La femme s’empressa de tout ramasser et remit l’échantillant à l’analyste, qui n’eut même pas le temps de lui dire ‘’Bonjour’’. L’homme fut surpris quelques secondes, mais commença l’analyse en soupirant. Theodore, elle, monta les marches en vitesse et sortit dehors, prenant sa veste au passage, et son …fusil. Elle arriva dans le petit appartement où étaient les officiers, sourit et marcha un peu plus fort, paralysant de nouveau les pauvres hommes. Il se produit la même situation qu’un peu plus tôt, mais à la place d’un oiseau, il découvrirent Theodore qui pouffait de rire. Quelques heures plus tard, toute une bande de policiers inspectaient un entrepôt de peinture, explorant chaque pièce. Theodore avait les tempes en sueurs, car tout le monde approchait des toillettes. Elle demanda la clé à un jeune homme, passa en trombe devant les hommes qui s’apprêtaient à entrer dans les Back Houses et s’enferma dans les toilettes, la barrant à double tour…
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Sam 25 Aoû - 0:09
